La réserve de biosphère de Palawan menacée
L’île de Palawan est un lieu unique d’un point de vue écologique et culturel.
Mais le gouvernement des Philippines veut aujourd’hui ouvrir à l’exploitation minière de grandes zones à forte biodiversité et de terres indigènes.
Réserve de biosphère et exploitation minière ne sont pas compatibles. L’UNESCO et le gouvernement philippin doivent agir à la préservation de Palawan.
Le dernier numéro d'Ikewan
Au sommaire du numéro 126 d’Ikewan, Le journal des Peuples Premiers, un thema sur la Mongolie et le désert de Gobi.
Avec également des articles sur les difficultés des Wodaabe au Niger, l’avancée de l’exploitation minière à Palawan, les autochtones Jummas agressés par les colons bengalis, le retour des Batwa sur leur territoire et l’actualité guyanaise.
Le sommaire détaillé
COP16 : Les peuples autochtones obtiennent un statut renforcé dans les COP biodiversité
Les pays réunis à la COP16 biodiversité à Cali en Colombie ont adopté en plénière la création d'un groupe permanent destiné à assurer la représentation des peuples autochtones au sein de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (CDB).
Le 26 octobre, des peuples du Brésil, de Colombie, du Pérou, de Bolivie, d'Équateur, du Venezuela, du Guyana, de Guyane française et du Suriname ont lancé à Cali le “G9 de l'Amazonie autochtone, afin d'avoir une voix unifiée pour influencer les décisions mondiales”.
Le foyer pour les enfants Bakola est construit
Malgré leur volonté d’isolement, les habitants Bakola de Nabonzuondi au sud-Cameroun souhaitent envoyer leurs enfants à l’école dans le village de Mill au bord de la piste de Lolodorf qui se trouve à une dizaine de kilomètres à pieds.
La piste en forêt est difficile, les dénivelés importants, et les enfants ne peuvent faire l’aller-retour chaque jour.
Cette communauté Bakola a sollicité ICRA pour la construction d'un foyer d’hébergement pour permettre aux enfants du village de Nabonzuondi d’être scolarisés à l’école de Mill.
Le foyer accueille aujourd'hui une vingtaine d'enfants Bakola sous la responsabilité de Voubio et de son épouse du campement de Nabonzuondi.
Malgré leur volonté d’isolement, les habitants Bakola de Nabonzuondi au sud-Cameroun souhaitent envoyer leurs enfants à l’école dans le village de Mill au bord de la piste de Lolodorf qui se trouve à une dizaine de kilomètres à pieds.
La piste en forêt est difficile, les dénivelés importants, et les enfants ne peuvent faire l’aller-retour chaque jour.
Cette communauté Bakola a sollicité ICRA pour la construction d'un foyer d’hébergement pour permettre aux enfants du village de Nabonzuondi d’être scolarisés à l’école de Mill.
Le foyer accueille aujourd'hui une vingtaine d'enfants Bakola sous la responsabilité de Voubio et de son épouse du campement de Nabonzuondi.
Des ruches pour sauver les cultures des Bagyéli
Au sud-ouest du Cameroun, au sud de la ville côtière de Kribi, au cœur du pays bagyéli, les campements bagyéli et les villages bantou sont pris en tenaille entre le nouveau port de Kribi, le parc national de Campo Ma'an et les plantations de palmiers à huile et d’hévéas.
Les sanctuaires des éléphants ont été détruits par l’avancée des cultures industrielles et les éléphants n’ont d’autres choix que d’aller chercher leur nourriture dans les champs des Bantou et des Bagyéli.
Les populations ont recours à des solutions endogènes afin de stopper les éléphants aux limites des cultures, notamment en plaçant des ruches tout autour des espaces cultivés (les éléphants ont peur des abeilles qui s’introduisent dans leurs oreilles et leurs trompes ! ...
246, av. Victor Hugo - 94120 Fontenay-sous-Bois - France
Courriel : info@icrainternational.org